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Bibliothèques

«La faible présence des seniors dans les bibliothèques n’est pas une fatalité» – Yves Alix, inspecteur général des bibliothèques

Publié le 22/02/2013 • Par Hélène Girard • dans : Actu expert santé social, Actualité Culture, France

Yves Alix, inspecteur général des bibliothèques, pointe le faible taux d’inscription des plus de 60 ans dans les bibliothèques et la rareté des initiatives prises pour les accueillir, dans un rapport publié fin 2012 intitulé « Les bibliothèques et l’accès des 'seniors' et des personnes âgées à la lecture ». Conquérir ce public s’avère complexe, car il est très hétérogène : entre un jeune retraité actif et une personne dépendante vivant en établissement médicalisé, les problématiques n’ont guère de points communs. Le rapporteur, qui fait une dizaine de recommandations, a répondu aux questions de « La Gazette ».

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Oui. Ma première surprise a été de constater que les plus de 60 ans disparaissent rapidement des bibliothèques. Il y a trois grands paliers :

  • autour de 55-64 ans,
  • puis de 65-74 ans,
  • et, enfin, 75 ans et plus.

Je ne pensais pas que la baisse de fréquentation commençait si tôt. J’avais à l’esprit l’image de personnes âgées assidues dans les bibliothèques, puisqu’elles ont beaucoup de temps libre.

Dans un second temps, j’ai été surpris de voir que les professionnels n’avaient pas fait ce constat. Ils étaient même sceptiques quand je leur indiquais les données chiffrées.
Cela veut donc dire qu’ils n’ont pas encore identifié cette catégorie de la population comme un public spécifique auquel s’intéresser.

Mais cette situation n’est pas ...

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«La faible présence des seniors dans les bibliothèques n’est pas une fatalité» – Yves Alix, inspecteur général des bibliothèques

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Lefebvre

23/02/2013 11h10

cet article m’intéresse particulièrement : conservateur de bibliothèque retraitée , grosse lectrice , inscrite à la BNF(mais pas pour les lectures de « loisir », ) inscrite à la BM de ma commune , je travaille à la BNF , mais je n’utilise presque plus la BM. Pourquoi?
D’abord, (et c’est sans dooute la même chose pour les ouvrages en gros caractère, ) j’ai lu déj beaucoup de ce qui m’intéresse dans le fonds de la BM. J’ai de plus au fil des années constitué ma propre bibliothèque (y compris en collections de poche car cette forme d’édition est une bénédiction pour les lecteurs qui veulent pouvoir retourner des ouvrages sur une longue période; 2) quand un livre me tente vraiment, je n’ai pas la patience , quand il s’agit des « nouveautés, » d’attendre qu’elles soient disponibles. Donc je les achète , préférant de loin un bon livre à toute autre forme de loisir .3) La plupart des livres de la BM ne me tente pas . J’en arrive à ne pratiquement plus lire de romans -sauf les policiers qui me semble le dernier genre « vivant « . Cette année, j’ été gâtée avec Ferrari, MOrisson, etc , mais c’est de plus en plus difficile de trauver dans la masse des romans qui paraissent, des oeuvres qui m’intéresse vraiment . Par contre , je lis beaucoup de livres d’histoire , mais je ne les demande pas à ma BM .j’ai peut être tort…
Je me suis aussi intéressée aux livres électroniques et j’ai maintement une belle petite bibliothèque . Cela va d’oeuvres que je veux relire mais que je ne désire pas avoir dans ma bibliothèque , d’ouvrages pour emporter quand je voyage. Avec ce mode d’édition plus de problème de grosseur de caractère….Un regret , leur prix ! surtout les BD qui sont telement enrichies par la tablette, mais qui sont hors de prix !
Enfin, un des gros plaisir de la lecture a toujours été pour moi d’en parler après la lecture et je trouve de moins en moins de gens pour cela . C’est peut être dans ce sens que les BM pourraient s’orienter , non pas des comités de lecture pour le choix des livres mais des comités de lecteurs (trices)sur le modèle de Babélio.
Mais à partir de quand devient-on senior?moi, je n’ai jamais arrêté de lire , mais si l’on dit qu’en France les lecteurs sont surtout des lectrices , faudrait-il avoir comme pour les jeunes une action de retour la lecture pour les retraités qui ont pour mille raisons abandonné « ce vice impuni  »
Bref, la lecture est vraiment une activité sociale et combien de « vieux sont-ils complètement isolés?
Il y aurait encore beaucoup à dire

ALIMAS

26/02/2013 03h42

(09A2290A01). LES SÉNIORS ONT, AUJOURD’HUI, UN «DÉSIR» DE LECTURE, TOTALEMENT DIFFÉRENT DE CELUI DE LEURS AINÉS. La dernière fois que je suis allé dans ma (BM) : Bibliothèque Municipale (c’était … c’était … finalement je ne m’en souviens pas), ce fut un sentiment de désertion du monde des lecteurs (pas plus de 5 à 6), mais le nombre de fonctionnaires étaient bien présents et en grand nombre (beaucoup plus que de lecteurs). La bibliothèque classique n’existera plus dans un avenir très proche. Elle est et sera remplacée par LA BIBLIOTHÈQUE NUMÉRIQUE.

Oui ! Cent fois oui ! La bibliothèque classique, c’est fini. Il faut résolument y intégrer le monde numérique. La bibliothèque du futur doit être le lieu de rendez-vous culturel des générations. D’ailleurs, il faudrait structurellement les implanter dans ce qu’on appelle aujourd’hui, MAISON ou MAIRIE DE QUARTIER. Ces lieux devraient contenir les «outils d’apprentissage des savoirs pour l’esprit» par analogie aux salles de sport qui contiennent les outils d’apprentissage des savoirs pour le corps.

Je vous transmets les intertextualités ci-après :

[Antony 07/06/2012, 00h52]. (09A0581B02). Adepte de jeux vidéo, je pense qu’il est important de distinguer les jeux vidéo selon leur type. En effet, à mon humble avis, tous les genres de jeux vidéo n’ont pas leur place dans une médiathèque ou une bibliothèque, notamment les jeux d’arcade, d’action ou violent.

Il existe cependant des jeux vidéo, même s’ils ne représentent pas la majorité des titres, basé sur la stratégie (age of empire), la simulation (simcity), l’investigation, l’aventure (LBA) voire la culture (Versailles).
P.S. : j’ai conscience que les exemples cités entre parenthèse sont anciens mais il existe des équivalents plus récents.

L’objectif doit en effet être de faire connaître des jeux moins connus et demandant davantage de réflexion. Il n’y a en effet aucun intérêt à proposer ce que chaque boutique de jeux vidéo propose d’acheter d’occasion.

[BiblioEdualk 08/06/2012, 11h58]. (09A0581B03). La question porte, comme toujours, sur le rôle des bibliothèques. Doit-on proposer uniquement de la culture, de la connaissance, de l’information !? Pour une bibliothèque publique, la réponse est clairement «non», sous peine de devoir se débarrasser des romans, (BD), (CD), (DVD), etc. …
Le jeu vidéo est un divertissement qui ressemble énormément au cinéma. Sa particularité est d’être interactif.
Mais n’oublions pas que le jeu vidéo, son interactivité et son aspect divertissement sont depuis longtemps en bibliothèque, par le biais des CD-Rom (notamment certaines collections Jeunesse).

Un dernier point qui rejoint celui @ Antony 07/06/2012, 00h52.
Je suis en charge des jeux vidéo dans ma bibliothèque (nous avons choisi de faire du prêt plus que de l’animation sur place) et GAMER depuis 30 ans. J’estime que nous avons un rôle à jouer par rapport à ce support dans le choix des jeux proposés (nous proposons du prêt).
Une boutique cherche à vendre, c’est normal et ils ont du mal. Nous, bibliothèques, choisissons nos collections ; c’est notre atout.

Oui pour ne pas proposer de jeux trop violents (j’exclus les jeux de rôle, car ce sont les jeux les plus riches en terme d’univers, de personnages et d’intrigues), au moins pour rassurer notre public et nos décideurs.
Oui pour privilégier les jeux moins connus, plus originaux. Un jeu coûte jusqu’à 70 € neuf, le GAMER va privilégier des jeux connus dans ses achats, à nous de lui proposer des jeux qu’il n’aura pas acheté par peur d’être déçu.
Oui aux jeux de gestion, de plateforme, d’aventure, de réflexion, de sport. Vive les party-games qui réunissent toute la famille. Tous ces jeux plaisent, pas besoin de faire dans le jeu de guerre, le (FPS) ou le jeu de combat pour attirer les joueurs.

Un dernier point important : Le jeu vidéo fête cette année ses 40 ans. La 1ère vraie génération est celle de «l’âge d’or de l’arcade», fin 70-début 80. Sortons du schéma «jeu vidéo = ado», surtout si on part sur une logique de prêt de jeux. Le GAMER est trentenaire maintenant et on utilise la Wii en maison de retraite, avec des logiques intergénérationnelles très intéressantes.
Nous cherchons tous à attirer les ados, mais ce serait une erreur de ne considérer le jeu vidéo que comme un «appât» pour eux.

[Valmont 05/07/2012, 21h20]. (09A0581B04). Bravo ! Nicolas. Il faut arrêter de faire de l’élitisme et replacer l’usager au centre de nos missions. Que ce soit une offre entière pour certains ou un hameçonnage déguisé pour d’autres nous conduit à notre chakra bibliothéconomique … Et de rester convaincu que nulle stratégie n’est mauvaise pour peu que l’on respecte le chemin de l’autre, et ce faisant qu’on ne l’écarte pas d’office.

(09A2290A02). ATTENTION : ÉCOUTER ET/OU REGARDER DES AUDIOS ET OU VIDÉOS N’EST PAS SUFFISANT ! IL FAUT AUSSI ÉCRIRE, LIRE ET TRADUIRE. Message à l’intention et à l’attention du monde journalistique. Pouvoir disserter, mémoriser, dupliquer, copier, coller, interpréter, classer, traduire, retrouver, etc. … les mots et les textes que vous écrivez, vous les journalistes, sont aujourd’hui une avancée technologique considérable au travers des (NTCI) : Nouvelles Technologies de la Communication et de l’Information aux niveaux des moyens de transmission, d’accession, d’acquisition, de mémorisation, etc. … des connaissances du monde, désormais à disposition de tous, en temps réel et ou différé au prorata des cultures et du développement des intelligences, des savoirs et des capacités individuelles (savoir proprement dit : Lire, écrire, parler, compter, dans une ou plusieurs langues, savoir-faire, savoir-être, savoir-vivre, etc. …).

Vous avez peut-être le sentiment que la disparition programmée du support papier, provoque ou provoquera un désamour de l’écrit, au profit des supports VIDÉOS ET/OU AUDIOS !? Du coup, vous vous engouffrez dans la suppression de l’écrit numérique au profit de l’image et du son ! En dehors de l’aspect culturel fondamental, c’est, je peux vous le prédire, une interprétation erronée du modèle économique. Il me paraît préjudiciable de choisir comme seul modèle économique rendant compte d’un événement, uniquement la vidéo et/ou l’audio, et de supprimer carrément l’écrit ; c’est une erreur de stratégie qui à termes pour le coup, vous fera disparaître du monde de l’écrit journalistique. L’écrit numérique remplace uniquement l’écrit sur papier, mais ne doit absolument pas supprimer l’écrit proprement dit.

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