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Pauvreté : le Premier Ministre confirme le plan quinquennal et le rôle du département comme chef de file de l’action sociale

Publié le 22/01/2013 • Par Agnès Thouvenot • dans : Actu expert santé social, France

Le comité interministériel du 21 janvier 2013 a validé le plan de lutte contre la pauvreté et pour l’inclusion sociale esquissé lors de la conférence de décembre 2012. Il confirme les mesures telles que l’augmentation du RSA de 10 % d’ici 2017 ou la priorité donnée à l’accueil d’enfants pauvres en crèche.

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C’est un ensemble de 62 mesures que le comité interministériel de lutte contre les exclusions a validé le 21 janvier dans le cadre du plan quinquennal contre la pauvreté et pour l’inclusion sociale.
Les plus emblématiques avaient été annoncées en clôture de la conférence nationale des 10 et 11 décembre 2012 et seront mises en oeuvre dès l’année 2013.

Allonger la durée des contrats aidés – Parmi elles, le Premier ministre a confirmé l’augmentation du RSA de 10 % d’ici 2017, avec un premier coup de pouce de 2 % en septembre 2013.
Le plan programme aussi l’allongement de la durée des contrats aidés, ceux-ci devant tendre vers une durée moyenne de 12 mois environ.

Dans le champ de l’insertion, le plan prévoit également de « rompre avec la logique binaire prévoyant soit une ...

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Pauvreté : le Premier Ministre confirme le plan quinquennal et le rôle du département comme chef de file de l’action sociale

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Pad

24/01/2013 09h59

Il est question de lutte contre l’exclusion et pourtant, ne bénéficiant pas du RSA mais de l’ASS, ce qui revient au même économiquement en percevant 15,63 euros par jour, je me sens à la fois exclu et victime de discrimination de la part du gouvernement.

Pourquoi n’est-il jamais question de l’ASS alors que le cadre de cette allocation offre encore moins de soutien que le cadre du RSA ? Surtout, pourquoi maintient-on deux systèmes parallèles – qui ne fonctionnent de la même manière, comme je viens de l’évoquer ? Les ASS-istes Sont-ils victimes d’une guerre de chapelle sachant que le RSA découle de la CAF alors que l’ASS découle de Pôle Emploi (avec impossibilité de refuser l’ASS au profit du RSA, dixit ces deux organismes) ?

N’est-il pas scandaleux alors qu’il affiche de réduire les inégalités, qu’à aucun moment le Plan pluriannuel contre la pauvreté et pour l’inclusion sociale ne parle de l’ASS et du sort de ceux qui la perçoivent ? Il est ainsi flagrant de constater à la page 40 que l’ASS n’est pas listée parmi les allocations individuelles. Cet oubli fait que les allocataires Solidarité spécifique ne sont pas reconnus lorsqu’ils sont confrontés aux institutions, avec pour exemple personnel le Trésor Public.

Si, bénéficiant de l’ASS, je ne peux toujours pas bénéficier de la CMU-C, le scandale est d’apprendre que, lorsque je retrouverai un emploi et donc une respiration financière, je toucherai encore durant trois mois l’ASS et continuerai à me prévaloir de la CMU-C tant que je serai en-dessous du seuil fatidique. En somme, c’est tout un système qui est dévoyé : les ASS-istes ne sont pas aidés au moment où ils en ont besoin et par contre profitent du système quand ils ne sont plus dans le besoin…

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