Fermés à 17 h 30, à l’heure du déjeuner, le dimanche… Pourquoi donc la grande majorité des lieux de lecture publique français reproduisent-ils ainsi les horaires de bureau ?
C’est exaspérant pour celui qui trouve portes closes, et, pour les communes, socialement et culturellement improductif.
Car, comme le souligne Dominique Arot, doyen de l’Inspection générale des bibliothèques (IGB), dans son dernier rapport, ces équipements excluent, ainsi, de fait, « toute une partie de leurs publics potentiels ».
A savoir, lycéens, étudiants, familles en balade dominicale, actifs désoeuvrés à l’heure du déjeuner, personnes en congé ne partant pas en vacances, etc.
Cette situation est aussi financièrement incohérente. Car depuis trente ans, les collectivités, aidées par l’Etat, ont consenti un effort ...
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Gazette des Communes, Club Santé Social
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