En 2010, la taxe de séjour, instituée en 1910 pour financer les aménagements touristiques, a rapporté 198 millions d’euros.
Le conseil municipal décide facultativement de la perception de cette taxe, qu’il fixe dans les limites du barème national établi par décret : 7 classes comportant chacune (sauf la première) un tarif minimum et un tarif maximum.
La taxe est ainsi comprise entre 0,20 euro par nuitée et par personne, dans les « campings et hébergements de plein air 1 et 2 étoiles », et 0,65 (minimum) à 1,50 euro (maximum), dans les « hôtels, meublés… 4 étoiles et plus ».
A l’Association nationale des maires des stations classées et des communes touristiques (Anmscct), « on conseille au maire de choisir les tarifs plancher la première année », précise la directrice générale, Géraldine ...
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