Les 751 zones urbaines sensibles (ZUS) cumulaient déjà les handicaps, mais selon l’Onzus, la crise a encore aggravé leur situation.
Le taux de pauvreté (part des personnes vivant avec moins de 964 euros par mois) y est ainsi passé de 30,5% en 2006 à 36,1% en 2010. Au cours de la même période, il n’a progressé que de 11,9% à 12,6% en dehors de ces quartiers.
Plus jeunes, moins qualifiés, majoritairement d’origine étrangère, les 4,5 millions d’habitants des Zus peinent d’abord sur le marché du ...
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