Il est encore un peu tôt pour se réjouir tout à fait, car l’accord de recapitalisation de Dexia, conclu dans la nuit de mercredi à jeudi par la France et la Belgique, demeure soumis à la validation de l’Union européenne et des parlements des Etats concernés. Mais à cette condition, il constitue, potentiellement, une très bonne nouvelle pour les collectivités lestées d’emprunts toxiques. Car derrière l’accord intervenu sur une recapitalisation devenue nécessaire pour combler les récentes pertes de Dexia, se cache un compromis sur le schéma de cession de Dexia municipal agency (DMA), la société de crédit foncier de Dexia, à la joint-venture (JV) créée entre La Banque postale (LBP) et la Caisse des dépôts et consignation (CDC).
Libre concurrence. En vertu du principe de concurrence libre et ...
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