Selon les derniers chiffres de l’Institut de veille sanitaire (InVS), ce taux s’est élevé, en 2011, à 52,7 % de la population cible, soit un tout petit peu plus supérieur à celui de l’année 2010 (52,0 %), avec une tendance globale à la stabilité depuis l’année 2008 (entre 52 et 53 %). À ces chiffres, il faut toutefois ajouter 10 à 15 % de femmes qui se font dépister individuellement.
Seuls quelques départements coordonnent – Sur le terrain, l’organisation locale et la promotion du dépistage organisé du cancer du sein (ainsi que du cancer colorectal, et, pour certains départements, du cancer du col de l’utérus) sont assurées par 90 structures de gestion départementales ou interdépartementales, dont près de 90 % sont de nature associative.
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J’en profiteRéférences
- Loi n°2004-806 du 9 août 2004 relative à la politique de santé publique
- Etude 2011 de l'Institut de veille sanitaire (InVS)
- Etude de la Haute autorité de santé (HAS)