Il y a quelques mois, Christian était incapable de quitter sa chambre. Sortir pour acheter un paquet de cigarettes lui paraissait insurmontable. Dans le foyer de l’Aftam, l’association qui l’héberge, les professionnels se sentaient très désemparés. «Nous avons donc décidé de faire appel à l’Emil, l’équipe mobile instaurant le lien», explique la travailleuse sociale Gwenaëlle Morin. Une semaine plus tard, une fois diagnostiqué son trouble anxiophobique et mis en place un traitement adapté, Christian se remettait à sortir, à prendre soin de lui-même et à faire des projets.
Un suivi transitoire
Née en avril 2007 et financée par l’agence régionale de ...
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