56 % des Français veulent continuer à limiter la place la voiture en ville. 45 % d’entre eux souhaitent développer les transports en commun, contre 25 % baisser le prix des carburants.
C’est ce qui ressort d’une étude réalisée par l’IFOP pour Keolis rendue publique le 12 novembre. « Nous ne constatons pas sur ces questions de gros clivage ville/campagne. Il n’y a pas non plus de fracture considérable entre les catégories populaires et les CSP + », relève le politologue et sondeur de l’IFOP, Jérôme Fourquet.
Et l’auteur de l’Archipel français de prophétiser à la veille des municipales : « On ne va pas dépiétonniser les centre-villes ou casser les pistes cyclables. Cela coûterait trop cher. »
- Mathieu Flonneau : « Le tout automobile n’a jamais existé ...
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