Pascal Bastien
Suite aux concours ouverts par le nouveau cadre d’emplois des ingénieurs en chef défini en février 2016, les lauréats ont intégré début octobre la première promotion de la formation dédiée, à l’Inet. Une reconnaissance pour les spécificités du métier, qui se traduit par un accompagnement soigné et par l’attention portée à l’ouverture et à la transdisciplinarité offertes aux futurs cadres.
En cette rentrée 2017, ils sont vingt-neuf à avoir rejoint les locaux de l’Institut national des études territoriales (Inet) du CNFPT à Strasbourg pour douze mois : les vingt-neuf élèves de la nouvelle formation initiale d’application dédiée aux ingénieurs en chef.
Un aboutissement après une longue période de réflexion sur les spécificités du métier, finalement inscrites dans le nouveau cadre d’emplois de 2016. « Pour concevoir cette formation, le CNFPT s’est appuyé sur un comité d’experts territoriaux, cadres supérieurs, qui ont réfléchi sur les compétences de ces métiers et sur la ...
@Josy
Alors comment expliquez-vous que la moyenne d’âge de cette promo soit de 40 ans et que tous (ou presque) soient déjà en fonction dans la territoriale et pour un nombre important déjà sur des postes d’encadrement ?…
Certes, le RI de l’INET est bien faiblard (surtout pour les lauréats externes !) pour quelqu’un qui était ingé principal, certes il a un budget conséquent à prévoir pour le logement et pour le transport domicile-Strasbourg, certes il faut « jongler » avec sa vie personnelle (surtout si on a des enfants en bas âge), mais la vie(professionnelle) est faite de sacrifices surtout quand on veut devenir à terme cadre dirigeant…
Il sera surtout intéressant de voir (et savoir) quel est le taux de lauréats qui ont trouvé un poste d’ingé chef à la sortie de cette année de formation (puis 6 mois après)… mis à part ceux qui seraient repris sur leur poste par leur collectivité bien entendu…