Le sujet était hautement polémique, mais les deux rapporteurs sont parvenus à s’accorder sur la nécessité de réformer le recueil et la présentation des statistiques de la délinquance. Au coeur du problème, l’état 4001, outil de mesure de l’activité des services de police et de gendarmerie créé en 1972, qui serait « un formulaire administratif obsolète, imprécis et très insuffisant », exposé à un « risque de distorsion et de manipulation important », écrivent-ils.
Même le co-rapporteur Didier Quentin, député-maire (UMP) de Royan (Charente-Maritime), qui réfute l’existence « d’instructions données par des responsables politiques », a reconnu lors d’une conférence de presse à l’Assemblée que plusieurs hauts fonctionnaires avaient évoqué de telles pratiques lors de leurs ...
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