C’était une grande première pour eux depuis dix ans et ils ne s’en sont pas privés. À l’occasion du débat sur les polices municipales, organisé le 24 janvier par le Sénat à la suite de la publication du rapport des sénateurs (PS) René Vandierendonck et (UMP) François Pillet en septembre dernier, les membres du Palais du Luxembourg ont donné leurs points de vue sur l’avenir des polices municipales, avant que Manuel Valls ne lance son plan d’action.
Comme l’a rappelé François Pillet, «entre 2008 et 2011, la gendarmerie a perdu 3 717 postes sur 110 000, et la police nationale 1 322 sur 148 563». «En miroir, le personnel de la police municipale a augmenté : de 5 600 en 1984, les effectifs sont passés à 18 000 aujourd’hui. En d’autres termes, les maires ont pallié les manques sur le ...
Contenu réservé aux abonnés
- Club prévention - sécurité
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous au Club prévention sécurité
Cet article n’est pas disponible dans l’offre d’essai du club. Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous au au Club prévention sécurité
Votre offre d’essai est arrivée à terme. Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous au au Club prévention sécurité
S'abonner PROFITEZ DE L’OFFRE 30 JOURS GRATUITS Déjà abonné ? connexionRéférences
Intervention du sénateur du Nord, René Vandierendconk, co-rapporteur de la mission d’information et du rapport sur les polices municipales « De la police municipale à la police territoriale : mieux assurer la tranquillité publique »